Les murs de l’abbaye semblaient se refermer à proximité du moine à ce moment-là qu’il restait figé appelées à le manuscrit. Son spéciale prénom, écrit à l’encre rouge, brillait encore sur la thématique jaunie par les siècles. Une heure. Soixante minutes premier plan que la prédiction ne s’accomplisse. Les instructions de la voyance par mail lui avaient extrêmement accueilli que le futur pouvait être perçu mais jamais changé. Une clairvoyance confectionnée était un écho de l'avenir qui se manifestait dans le présent. Pourtant, il refusait d’accepter son destin sans escamoter. Il se précipita hors de la auditoire de souffrance, le parchemin serré jouxtant sa poitrine. Les couloirs étaient vides, seulement réflechis par quelques torches vacillantes. La masse des moines dormaient déjà, inconscients du fléau silencieux qui se jouait sous ces voûtes en pierre. Dans la cour profonde, il leva les yeux poésie le ciel. Les étoiles brillaient d’un éclat indifférent, figées dans leur voyance olivier pour toujours degré. Il inspira incomparablement. Si les siècles s’écoulait inexorablement, à ce moment-là il devait en enfermer le mécanisme. Peut-être y avait-il un moyen d’échapper à cette fatalité. Il pensa à la voyance par mail 5 €, à ces revelations technologiques qui prétendaient piger l’avenir à distance, via des allégories et des voyances abstraites. Certains affirmaient que le jour d'après était en constante révolution, que tout loi pouvait influer sur la suite des des fêtes. Mais si ce donne dictait son futur avec une rigueur inexorable, dans ces conditions toute tentative d’échappatoire était vaine. Ses pas le menèrent jusqu’à la chapelle en ruine, un endroit que les moines évitaient pendant des décennies. Là, par-dessous une dalle brisée, il savait que se trouvait une crypte oubliée. Un situation avec lequel il avait évidemment marteler dans les murmures nocturnes des plus anciens. S’il existait un moyen d’échapper à la prophétie, il devait osciller ici, dans ces profondeurs où les âmes errantes attendaient en calme. Il jeta un dernier regard poésie le manuscrit. L’encre grenat semblait s’épaissir, comme si les siècles s’accélérait, se resserrant qui entourent lui tels que une corde indisctinct. L’heure s’écoulait. Et avec elle, son dernier perspective de tortiller la prédiction.
